« Développer l’autonomie dans le travail »
Un an après la thèse…
Trois questions à Julie Couleaud, chargée d’affaires sites et sols pollués chez Solrem (Artesa)

Dans quel état d’esprit avez-vous abordé la thèse ?
En sortant de l’Ecole nationale supérieure de chimie de Rennes (ENSCR) avec mon diplôme d’ingénieure en 2019, je ne pensais pas du tout à faire une thèse. J’ai alors eu l’opportunité de travailler six mois en CDD pour l’entreprise Nereus dans le traitement des effluents. Quand cette mission s’est terminée, nous étions en pleine crise du Covid et ce n’était pas l’idéal pour rebondir. Deux enseignants chercheurs de mon école avec lesquels j’étais restée en contact grâce à un projet d’études monté au Cambodge sur l’eau, m’ont alors proposé d’intégrer leur équipe de recherche à Rennes. J’ai d’abord eu peur de me lancer car je n’étais pas spécialement attirée par une carrière académique. Mais après réflexion, j’ai décidé de le prendre comme un projet à mener sur trois ans (2020-2023) et de voir où cela me mènerait.
Envie de lire la suite ?
J’achète cet article
- Accès à l’intégralité de l’article
- Téléchargement PDF
Je m’abonne à la revue TSM
- 10 numéros par an, versions papier et web
- Accès aux articles Magazine et Partage Opérationnel
- Téléchargement des numéros et des articles en PDF