Qualité de l’air intérieur :   vers plus de surveillance ?
Débitmètre capteur de CO2 Kimo

Alors que la crise du Covid 19 se prolongeait en Europe, l’entreprise suisse Sensirion, spinoff de l’école polytechnique de Zurich (ETH), lançait en février 2021 un nouveau capteur électrochimique (SFA30) destiné à mesurer la teneur en gaz formaldéhyde.
La crise du Covid n’a pas entraîné de préoccupations majeures sur le formaldéhyde, déjà identifié en tant que polluant potentiel de l’air ambiant, mais elle a attiré l’attention sur les problématiques de renouvellement et de qualité de l’air intérieur (QAI). La réglementation française sur l’air intérieur se concentre sur les établissements recevant du public (ERP) et sur trois molécules: le CO2, en tant qu’indicateur du renouvellement de l’air, le benzène, marqueur des pollutions automobiles et industrielles, et le formaldéhyde, marqueur de la présence des composés organiques volatils (COV). Or depuis la pandémie, le cadre de surveillance de l’air intérieur, issu du Grenelle de l’Environnement, a sensiblement évolué et les outils de mesure se sont perfectionnés.

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