« Investiguer la gestion intégrée des eaux pluviales d’une collectivité »
Un an après la thèse….
Eloïse Lenormand, Docteure-Ingénieure de l’Ecole nationale du génie de l’eau et de l’environnement (ENGEES)

Après un diplôme d’ingénieur à l’ENGEES complété d’une spécialisation à l’EM Businesss School, qu’est-ce qui vous a conduit à entreprendre une thèse ?
Dans le cadre de mon cursus à l’EM Business School, j’ai réalisé un stage à l’université de Bogota en Colombie dans lequel j’ai mené deux projets, en R&D et en sociologie, qui m’ont vraiment intéressée. En rentrant, j’ai souhaité poursuivre dans la recherche académique et j’ai eu une proposition de thèse au laboratoire de sciences de l’ingénieur ICube de l’ENGEES. La recherche de financement a été un peu longue et m’a obligé à trouver temporairement un emploi. J’ai commencé ma thèse en septembre 2019. Elle a été co-financée par l’Eurométropole de Strasbourg et l’ENGEES sous le co-pilotage des laboratoires Icube et LIVE à l’ENGEES, spécialisés respectivement en mécanique des fluides et en hydro-écologie.
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