« Le prix de l’Astee a donné de la visibilité à mes travaux »

Qu’est-ce qui vous a amené à réaliser une thèse sur la récupération de l’azote dans les digestats et les urines ?

En fait, j’ai eu de la chance car dans mon parcours d’étude, tout s’est enchaîné. Lors de ma dernière année à l’université de Valladolid en Espagne, j’ai postulé à un échange Erasmus à l’INSA de Toulouse. Et finalement les 6 mois prévus en France sont devenus 8 ans.  J’ai réalisé mon stage de Master 2 en gestion de l’environnement sur la dégradation des résidus pharmaceutiques en méthanisation et sur la séparation à la source des urines au sein du laboratoire Toulouse Biotechnology institute (TBI) de l’INSA de Toulouse. Il m’a proposé de poursuivre mes recherches dans le cadre d’un contrat d’ingénieure d’études de un an qui s’est prolongé par une thèse financée par l’ANR et l’Ademe. Et aujourd’hui alors que je travaille chez Nereus Water comme ingénieure innovation, je développe encore mes travaux sur ce sujet.

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