Analyse des PFAS : du ciblé au global
Pour identifier et quantifier les polluants per- et poly-fluoroalkylées (PFAS), les acteurs de l’eau disposent d’une batterie de méthodes et de technologies. Certaines ciblent des molécules spécifiques, d’autres utilisent une approche globale. Leurs limitations en font des approches complémentaires.
Rennes fin 2024, Paris début 2025 puis le Grand Poitiers, la liste des collectivités locales (ici non exhaustive) qui publient les résultats de leurs analyses volontaires sur les per ou poly fluoroalkylées s’élargit et couvre des territoires qui ne sont pas les plus exposés à des « hot spots » d’émission industrielle de PFAS. Parallèlement, le « name and shame » sur les sites industriels (ICPE) les plus émetteurs s’est déployé dans les médias en s’appuyant sur l’analyse des données publiées par les DREAL conformément au plan interministériel PFAS d’avril 2024. Toutes ces données s’appuient sur des méthodes de chimie analytique dont certaines ciblent des molécules précises et d’autres, dites non ciblées, apportent une information globale, chaque méthode ayant ses limites.
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